2016 : une année exceptionnelle

Chère amie, cher ami,

Avant que l’année ne s’achève, nous tenions à vous remercier pour tout le temps que nous avons passé avec vous en 2016.

Vous avez été :

  • des lecteurs fidèles,
  • des commentateurs prolixes :
    • vos éloges nous ont poussés à aller plus loin,
    • vos critiques (si, si, il y en a eu aussi !) nous ont appris à progresser ;
    • vos suggestions, enfin… sont déjà sur l’agenda 2017 !
  • des pétitionnaires nombreux, militants et engagés. Merci !
  • des congressistes chaleureux, attentifs et passionnés. Bravo !

Vous le savez, face au poids des laboratoires pharmaceutiques, face à l’impéritie des administrations, il faut savoir dire : Non !

  • Non ! aux pressions exercées sur les médecins pour qu’ils suivent uniquement les procédures officielles inadaptées à l’ensemble de la population : maladie de Lyme, maladies chroniques, voire cancérologie ;
  • Non ! à la chasse aux médecins ou scientifiques lanceurs d’alertes comme le Dr Michel de Lorgeril, le Pr Henri Joyeux, le Pr Gilles-Eric Sérallini et tant d’autres dont le seul tort est d’avoir voulu chercher la vérité et protéger les populations ;
  • Non ! aux attaques répétées contre l’homéopathie ;
  • Non ! au fait d’imposer une politique vaccinale obligatoire applicable indifféremment à tous, en dépit des risques que cela comporte pour certaines personnes ;
  • Non ! à la politique du médicament systématique et à vie pour les maladies chroniques (cardiologie, ostéoporose, etc.)
  • Non ! aux OGMs et aux organismes vivants mutés ;
  • Non ! aux essais thérapeutiques aléatoires et dangereux exercés sur des patients sans leur consentement ;
  • Non ! à l’influence sans limite des industries pharmaceutique et agroalimentaire sur les autorités !

Mais dire simplement “Non !”ne suffit pas.

Certains disent non à tout et à n’importe quoi, juste par esprit de contradiction.

Ce n’est pas notre vision.

Pour nous opposer efficacement à ces projets, nous pensons que la société civile doit formuler des contre-propositions constructives et réalistes. Nous devons nous organiser pour peser dans le débat public. C’est à nous d’imposer l’agenda politique et médiatique. Sont en jeu notre santé, notre avenir, celui de nos enfants.

L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle mène ce combat autour de deux grandes idées :

  • Faire vivre le débat sur la santé en redonnant la voix aux citoyens. C’est l’objet de nos pétitions et des actions que nous menons auprès des autorités.
  • Faire reconnaître les médecines naturelles et les professionnels qui les portent.

La voix du citoyen !

De plus en plus, responsables politiques et médias tentent de monopoliser la parole publique. Pour eux, l’opinion des citoyens ne compte pas.

En France, les élections présidentielles et législatives ont lieu tous les 5 ans. Entre les deux, les citoyens ne sont bons qu’à payer des impôts et accepter les décisions qui sont prises pour eux, à quelque niveau que ce soit.

Nous l’avons encore vécu en direct en 2016 avec l’histoire du vaccin DTP classique.

Souvenez-vous : en 2008, il existait un vaccin obligatoire contre trois maladies, diphtérie, tétanos et poliomyélite. Il était sûr et sans aluminium.

Quelques années plus tard, il ne reste plus sur le marché qu’un vaccin dit « hexavalent » qui couvre six maladies (DTP + coqueluche + Hib [1] + hépatite B).

Deux problèmes apparaissent sans que les médias ne s’emparent du sujet :

  • d’une part, le vaccin hépatite B est controversé en raison des risques reconnus liés à son administration ;
  • d’autre part, le prix du vaccin est graduellement passé de 6,5 euros à 40 euros…

Il a fallu que l’IPSN lance une grande pétition avec le Pr Henri Joyeux pour que le scandale soit dévoilé ! Notre pétition, qui a réuni plus d’1,1 million de signatures aura été le seul moyen massif de communication sur le sujet puisque les médias classiques se sont largement abstenus ! Auto-censure et/ou pression du gouvernement actuel ?

Ce sont vos relais et votre soutien qui ont permis de faire éclater la vérité au grand jour !

Félicitations !

En parallèle de notre pétition, nous avons lancé une action de groupe auprès du Conseil d’Etat pour obtenir des explications de la Ministre de la Santé. Parmi vous, 2500 mandataires se sont joints à la plainte déposée par l’IPSN et pour laquelle nous attendons une réponse officielle courant 2017.

Ces actions militantes, ainsi que l’ensemble des Congrès que nous organisons, ont pour vocation de faire bouger les lignes :

  • l’information circule,
  • les autorités se trouvent interpellées et obligées de répondre,
  • les personnes de bonne volonté peuvent se fédérer à partir d’une pétition ou d’un Congrès pour faire avancer une cause spécifique.

Dans le cas du vaccin DTP, l’affaire n’est pas finie…

L’ampleur de notre mobilisation a obligé les autorités à lancer une consultation citoyenne. Mais cette opération s’est révélée être une mascarade.

Dans son rapport publié il n’y a même pas 1 mois, le comité de vaccination ne parle plus de pousser les industriels à remettre à disposition le vaccin DTP sans aluminium (un adjuvant dangereux) peu onéreux… mais préconise au contraire la généralisation de l’obligation vaccinale pour pas moins de 11 vaccins !

C’est de la provocation !

Dans le même temps, ce rapport reconnaît qu’une partie de la population (on parle, rappelons-le, de nourrissons) pourrait en pâtir. Conclusion des experts : le contribuable paiera pour les pots cassés via une nouvelle taxe sur les médicaments !

Aucun risque n’est assumé par l’industrie pharmaceutique alors que c’est eux qui vont se remplir les poches avec la généralisation annoncée de ces vaccins, au frais de la Sécurité Sociale. Le beurre et l’argent du beurre…

Au-delà des enjeux financiers (le vaccin hexavalent est 7 x plus cher que le simple vaccin DTP), comment peut-on accepter un tel cynisme ?

L’IPSN a décidé de continuer le combat en lançant une nouvelle grande pétition pour s’opposer à l’obligation vaccinale imposée pour 11 vaccins et que vous retrouverez ici. Je vous invite à la signer et à la partager auprès de vos proches si ce n’est pas encore fait.

Mais l’action de l’IPSN ne s’arrête pas là !

Mieux faire reconnaître les métiers de la santé naturelle !

Notre association se bat également pour la reconnaissance des professions de la santé naturelle.

Leur reconnaissance officielle, dans les pays où elles existent, permet aux citoyens d’accéder à une palette de soins plus large, plus professionnelle, mieux sécurisée et mieux adaptée aux besoins de chacun.

Herboristes, chiropracteurs, nutritionnistes, naturopathes, coachs en soins spécialisés (shiatsu, watsu, reiki, etc), tous apportent un supplément d’âme et de compétences à la santé.

D’autres métiers comme les ostéopathes, acupuncteurs, hypnotiseurs sont autorisés mais toujours regardés avec suspicion ou mépris.

Il est temps de faire évoluer le regard de nos autorités sur ces métiers plébiscités par le public. Il est bon également d’aider ces métiers à mûrir pour qu’ils s’institutionnalisent davantage (sans se scléroser).

Il est grand temps que ces professions trouvent (ou retrouvent) leur juste place dans notre société et dans l’écosystème de la santé.

De nombreuses approches thérapeutiques ou techniques de soins sont aujourd’hui oubliées, méprisées ou interdites. Elles sont peu ou pas enseignées, se trouvent critiquées par certains médecins et ne se développent pas en dépit d’une attente immense de la population.

Ces approches permettent aux professionnels de santé d’élargir et de compléter leurs connaissances. Plus compétents, mieux formés, ils disposent de plus de solutions pour accompagner leurs patients ou clients. Par exemple :

  • Un médecin homéopathe dispose potentiellement d’une quarantaine de remèdes pour la fièvre, et c’est sans compter ceux de la médecine classique auxquels il peut également avoir recours en cas de nécessité.
  • Une infirmière libérale formée en nutrition pourra aider le patient qu’elle va visiter après un passage à l’hôpital pour un problème cardiaque, à adopter une alimentation méditerranéenne qui pourra lui éviter une rechute. Encore faut-il qu’elle dispose de cette connaissance !
  • Un ostéopathe formé à la phytothérapie saura conseiller des plantes (autorisées, s’entend) pour faciliter le travail du foie, que l’on sait désormais jouer un rôle important sur le mal de dos.
  • Un pharmacien homéopathe pourra proposer des préparations magistrales (si on lui en laisse l’autorisation) qui permettront, après diagnostic du médecin, d’individualiser un traitement.

On pourrait multiplier les exemples à l’infini, tant les médecines naturelles offrent de combinaisons et de solutions aux thérapeutes qui les pratiquent.

Cela ne veut pas dire qu’il faut faire n’importe quoi. Mais un développement réfléchi et raisonnable des professions de la santé naturelle serait salutaire pour nos populations, vieillissantes, malades chroniques, désespérées parfois et souvent fatiguées.

Une réflexion sur les traitements naturels

A cette reconnaissance des métiers, doit s’ajouter une réflexion sur les produits (ou traitements) naturels et sur ce que les professionnels qui les proposent sont en droit d’en dire.

En France, par exemple, sont interdits les produits ou traitements suivants :

  • La Thyroïdine (accessible dans presque tous les pays du monde), qui permet de soigner certains patients ayant des troubles thyroïdiens avec de la thyroïde naturelle (d’origine animale). Ce traitement apporte des hormones T4, T3, T2 et T1 selon des dosages admissibles par les humains.
  • Les produits Beljanski, vendus aux Etats-Unis sous la forme de compléments alimentaires, qui ont été utiles dans l’accompagnement du cancer de nombreux patients. Le Dr Beljanski qui les a mis au point a été poursuivi et traîné devant les tribunaux en France alors même que le Président de la République de l’époque, François Mitterrand, avait demandé à être soigné par ce scientifique de renom.
  • Le silicium organique, développé par le Dr Loïc Le Ribault, exilé en Espagne, vendu aux Etats-Unis, à Hong Kong et en Afrique du Sud, sous la forme d’un complément alimentaire et dont les médecins se servent pour l’accompagnement de différentes maladies, cancers du poumon ou pancréas, hypertension, maladies cardiaques, tendinites,… On lui reconnaît hors d’Europe de nombreuses vertus !
  • La digitale, considérée comme toxique en France, qui a longtemps été utilisée pour les problèmes cardiaques. Depuis qu’une molécule de synthèse copiant son principe actif a été mise sur le marché, bizarrement elle a été interdite. Le pharmacien et l’herboriste ne peuvent pas en proposer. Le médecin phytothérapeute ne saurait en prescrire. Reste le fleuriste… qui lui, peut en vendre à tout le monde.
  • Le tic-tox développé par Bernard Christophe, pharmacien herboriste à Strasbourg, pour aider les patients atteints, comme lui, de la maladie de Lyme. Ce traitement est autorisé et apprécié, en Allemagne, juste de l’autre côté de la frontière.

Ce ne sont là quelques exemples emblématiques. La liste complète des traitements interdits est considérable. Une fois de plus, on argue de la sécurité des consommateurs (ou patients). Mais celle-ci découle plutôt du bon usage des produits et de la bonne formation des professionnels compétents, non des interdictions totales qui conduisent au développement de marchés parallèles et frauduleux.

Les patients sont laissés à l’abandon et sous prétexte de lutter contre les charlatans (qui existent, malheureusement), on leur interdit l’accès aux professionnels compétents !

Le chantier est immense !

L’IPSN est une association militante : nous avons développé un esprit de combat pour mener à bien nos campagnes et affronter les réticences officielles qu’elles peuvent susciter. Mais notre volonté est aussi de favoriser la conciliation et la coopération.

Nous savons qu’il est bon et utile de construire des projets à travers le dialogue, la connaissance et l’échange de point de vues.

C’est la raison pour laquelle nous restons toujours ouverts à la discussion avec les autorités et que nos événements sont ouverts et accessibles à tous.

Nous restons persuadés que l’engagement des citoyens et leur capacité à dialoguer avec les autorités restent les meilleurs moyens de faire bouger les lignes.

Ensemble, nous pouvons travailler au renforcement des droit des citoyens et des consommateurs en matière de santé pour améliorer la santé de tous.

En Suisse, en 2014, les citoyens ont obtenu que l’accès aux médecines non conventionnelles soit reconnu constitutionnellement. Cela devrait être le cas dans tous les pays dits « libres et démocratiques ».

En vérité, les citoyens devraient pouvoir demander bien davantage à leurs gouvernements.

Nous pourrions leur demander, par exemple, de travailler :

  • sur la pureté de l’air et la qualité de l’eau,
  • sur la diffusion des ondes (évaluation des effets sur la santé, réflexion, prévention & précaution),
  • sur le développement de l’agriculture biologique et la préservation des terres par la création de zones ou de départements « bio »,
  • sur la limitation des pollutions diverses et variées: pesticides, hydrocarbures et particules fines, nanotechnologies, médicaments, cosmétiques, produits d’entretien,…

Le chantier est immense !

Mais l’espoir est à la hauteur du travail à accomplir. Car, pour chaque problème posé, il existe des solutions concrètes, pragmatiques, économiquement réalistes.

Le tout est de les faire connaître, de diffuser l’information et de faire accepter, par les gouvernements, grâce au dialogue et à l’échange, ces évolutions nécessaires à la préservation de notre santé. Nos élus vivent dans leur bulle, il faut les faire redescendre sur Terre !

Nos actions en 2016…

L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle est conscient de tous ces enjeux. Nous menons des actions dans l’ensemble de ces domaines.

Nous avons travaillé sur 3 grands chantiers prioritaires :

01. La défense d’une politique vaccinale plus libre et réfléchie.

Avec le Pr Henri Joyeux, nous avons lancé la pétition pour le retour du vaccin DTP classique sans aluminium.

Résultats :

  • Nous avons réuni 1,1 million de signatures autour de notre grande pétition.
  • Nous avons saisi le Conseil d’Etat sur le sujet avec l’aide de 2500 mandataires. C’est la première action de groupe menée par l’IPSN. La décision doit être rendue courant 2017.
  • Nous avons remis sur la table un sujet que les autorités avaient largement enterré. Et pourtant, les faits sont graves. On parle de vente-liée, d’absence de consentement des patients, de risques liés aux adjuvants dangereux dans les vaccins, de l’influence de Big Pharma sur les autorités, d’augmentation considérable et non concertée des prix des vaccins imposés à l’ensemble de la population. Ce n’est pas une « petite affaire ».

02. La reconnaissance du métier d’herboriste en France et en Europe.

Afin d’aider les représentants de l’herboristerie en France, nous avons organisé pour la quatrième année consécutive le Congrès des Herboristes.

Toute la filière de l’herboristerie était réunie pour présenter au grand public les merveilles de ces métiers. Producteurs, cueilleurs, grossistes, transformateurs, distributeurs et thérapeutes : tous étaient présents pour parler d’une filière en pleine effervescence. Seules les autorités ignorent encore l’énergie, la compétence et la vitalité qui existent dans le domaine des plantes médicinales ! Plus de 600 personnes étaient réunies à Paris pour discuter et échanger sur l’avenir de l’herboristerie.

03. La diffusion d’une information de qualité accessible à tous sur la santé naturelle.

Pour effectuer ce travail, nous avons :

  • envoyé 54 newsletters gratuites diffusées sur Internet (et la cadence augmente),
  • organisé 5 conférences santé,
  • organisé le 4e Congrès des Herboristes,
  • organisé la 2e édition du Congrès International de Santé Naturelle (1er et 2 octobre 2016) qui a réuni près de 3 000 personnes au Parc Floral de Paris et autant qui ont suivi l’événement depuis chez eux via la retransmission live en streaming vidéo. Plus de 40 conférences ont été données. 82 ateliers ont été proposés. L’ensemble des sujets de la santé naturelle a été couvert.

En 2017, ces actions seront bien sûr poursuivies et renforcées.

Plus que jamais, nous voilà prêts et déterminés à agir pour faire bouger les lignes et défendre le droit de se soigner librement !

Nous ne manquons pas de courage, mais avons par contre besoin de moyens financiers. C’est grâce à des citoyens responsables et conscients des enjeux, et qui nous accompagnent régulièrement par des dons que toute cette dynamique a pu se mettre en place.

Rejoignez-les dès maintenant en devenant vous aussi donateur de l’IPSN !

Vous renforcerez ainsi notre capacité d’action pour défendre l’intérêt général.

Votre soutien nous est indispensable !

Il faut bien comprendre que nous menons nos combats de manière totalement libre et indépendante.

Nous ne recevons aucune subvention publique.

Nous sommes indépendants de toute influence étatique, politique, religieuse, médiatique ou idéologique.

Nous choisissons nous-mêmes nos combats, nos actions et la manière de les porter.

Mais rien de tout cela ne peut exister sans votre soutien.

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Vous serez ainsi impliqué en personne dans les combats les plus nécessaires de notre temps.

Vous aurez la garantie de participer à un projet porté par une équipe :

  • déterminée à porter ses combats jusqu’au bout,
  • compétente pour mener des opérations d’envergure,
  • 100 % indépendante,
  • soucieuse de l’efficacité de ses actions,
  • capable de porter des projets sur le long terme,
  • scrupuleuse dans la gestion des dons qui lui sont consentis,
  • capable de se remettre sans cesse en cause pour améliorer les services rendus à la population.

Enfin, notez que nous sommes organisés pour vous permettre d’effectuer le don qui vous convient le mieux.

Première option :
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Ne vous sentez pas obligé de mettre un montant important ! Chacun fait selon ses possibilités.

Vous pouvez nous faire un don mensuel récurrent, en vous rendant ici.

Deuxième option :
Vous pouvez également effectuer un don unique, s’il est difficile pour vous de vous engager dans la durée, ou si vous souhaitez profiter des derniers jours de l’année 2016 pour bénéficier des avantages fiscaux d’un don réalisé au profit de l’IPSN.  Pour ce faire rendez-vous ici.

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Merci infiniment pour votre soutien !

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois

 


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