3 choses positives à tirer de la crise sanitaire
Chère amie, cher ami,
Autour de moi, tout le monde tente d’oublier ce que nous avons vécu entre janvier 2020 et fin 2022.
Tout le monde veut avancer.
Et c’est très bien.
Il est important d’aller de l’avant.
La question qui me reste toutefois est : qu’avons nous appris de ce que nous avons vécu ?
Car avant de passer à autre chose, il est bon de tirer quelques enseignements de l’expérience que l’on vient de vivre.
La réponse n’est du reste pas si évidente parce que si la partie “sanitaire” de la crise est passée, la partie “politique”, elle, continue.
En effet, en trois ans, de nombreux droits humains en Occident, et dans le monde entier, ont reculé, à commencer par la liberté d’expression, notamment des médecins(1,2).
D’autres droits sont aussi menacés comme le secret médical(3), la liberté thérapeutique des patients et de prescription des médecins(4), le droit à la vie(5), l’accès à l’éducation(6), etc.
La crise de coronavirus aura été, pour de nombreux gouvernements, l’occasion de tester des politiques à tendance totalitaires que de très nombreuses personnes ont plus moins accepté parce que c’était au nom de la santé, parce que les ordres venaient des institutions et notamment de l’OMS.
La crise sanitaire a permis de révéler au grand public que l’OMS était totalement entre les mains de Bill Gates et de sa Fondation, qu’il s’agissait donc d’une institution à caractère quasiment privé(7).
Il est évident qu’il faudrait un rééquilibrage au sein de cette institution et que les Etats, légitimés par les citoyens qu’ils représentent, reprennent la main sur l’OMS.
Malgré ces différents défis de taille, il me semble que l’on peut se réjouir pour 3 raisons.
1/ Un nombre croissant de personnes ont compris que le système de santé était vérolé
Pendant plus de 10 ans avant la crise sanitaire j’ai rencontré des médecins, des herboristes, des thérapeutes formidables, qui étaient injustement poursuivis pour avoir aidé leurs patients.
À chaque fois, la situation était la même.
Le thérapeute apportait une solution au patient qui lui permettait de guérir ou d’aller mieux.
À chaque fois, cette solution avait été interdite pour une raison obscure.
À chaque fois, un nombre conséquent de patients avait utilisé le traitement sans avoir subi d’effets secondaires.
Les patients étaient contents, mais un collègue ou une administration, ayant eu vent de l’affaire, portait plainte et le thérapeute se trouvait suspendu.
Ces scandales à répétition, où le système a écrasé un thérapeute ayant aidé ses patients, ont été racontés dans différents livres.
Pierre Lance en a tiré 4 volumes dans sa série de livres Savants maudits, chercheurs exclus publiés chez Guy Trédaniel(8).
Sylvie Simon a aussi raconté d’autres cas d’abus de pouvoir de la part notamment de l’Ordre des médecins dans son livre Ordre et désordres(9).
À l’époque, si je parlais de ces médecins autour de moi, il y avait toujours quelqu’un pour dire “il n’y a pas de fumée sans feu” et de défendre le système bec et ongles.
Mais depuis que de nombreuses personnes n’ont plus de médecins pour les soigner ou qu’elles ont subi de mauvais traitements à l’hôpital parce que les médecins les plus humains sont partis ou qu’ils sont en burn-out, il y a une lente prise de conscience.
Durant la crise sanitaire, cette maltraitance par l’administration sanitaire de ses soignants s’est accélérée.
De nombreux soignants ont été poursuivis pour avoir dit ce qu’ils pensaient de la situation sanitaire quand d’autres étaient suspendus simplement pour avoir refusé le vaccin ARN expérimental(10).
Avec la crise sanitaire, de nouvelles figures de la résistance contre le système sanitaire actuel ont émergé telles que Alexandra Henrion Caude, Louis Fouché, Jean Dominique Michel et bien d’autres(11,12,13).
La critique contre le système a pris de l’ampleur. Elle s’est structurée.
Il faut en passer par là pour que les choses changent.
2/ Les traitements naturels antiviraux ont été popularisés
Lorsque le coronavirus est arrivé, le gouvernement a enfermé toute la population avec comme seule recommandation de prendre du paracétamol en cas d’apparition des symptômes du covid 19(14).
Pour beaucoup de personnes, cela a été l’occasion de se demander s’il n’existait pas des remèdes préventif,s voire légèrement curatifs.
Ces personnes se sont rendu compte qu’il en existait plein, notamment dans les remèdes naturels : le thym, le romarin, le miel, la propolis, la vitamine C, l’huile essentielle de tea tree et celle de ravintsara, etc(15, 16, 17,18, 19).
Tous ces remèdes ont un effet antiviral puissant.
De même, il a été démontré que la prise régulière de vitamine D, notamment durant l’hiver, était un extraordinaire moyen de renforcer l’immunité contre les virus y compris le coronavirus et ses variants(20).
La vaccination, à l’inverse, offre une protection spécifique. Elle vous protège contre la souche choisie par le fabricant(21).
Enfin, cette crise sanitaire est venue confirmer quelque chose que les adeptes de la santé naturelle savent depuis longtemps : ce qui compte c’est le terrain du patient(22).
Une personne qui a adopté une alimentation méditerranéenne, qui fait du sport régulièrement, qui évite de consommer trop d’alcool et trop de sucres et dont le mode de vie est sain, court un risque bien plus faible face aux virus que quelqu’un dont le mode de vie est délétère.
Élémentaire, dirait Sherlock Holmes à son ami Watson !
Mais il est parfois bon de rappeler les évidences ! Les crises servent parfois à cela.
3/ Environnement et santé se rejoignent de plus en plus dans le discours des experts
Dans les congrès que j’ai organisés, il y avait parfois des personnes qui étaient plus tournées vers les problématiques environnementales tandis que d’autres s’intéressaient d’abord à la santé naturelle.
Chez les orateurs, cette différence existait parfois aussi.
Désormais, les discours tendent à se rejoindre.
Quelqu’un comme Jean-Marc Jancovici n’hésite pas à lier l’apparition des épidémies à un problème environnemental, tandis qu’un Louis Fouché parle autant de santé que de permaculture(23,24,25).
David Servan-Schreiber l’avait aussi très bien dit dans son livre Anticancer(26).
Il est évident que pour vivre sur une planète saine, nous avons besoin d’une médecine qui soit la plus respectueuse possible de l’environnement.
Si la notion de médecine environnementale est très développée dans certains pays d’Europe comme en Suède(27), on en est encore loin en France.
Mais il est possible que cette crise sanitaire ait aussi servi de prise de conscience à de nombreux experts.
Tant mieux !
Plus nous serons nombreux à aller dans cette direction, plus il y a de chances qu’elle finisse par trouver une expression politique.
Cela passe par :
- la reconnaissance des métiers d’herboriste, de naturopathe et d’acupuncteur ;
- le retour en grâce de l’homéopathie ;
- la reconnaissance de la sensibilité aux ondes ;
- la reconnaissance de l’ensemble des approches thérapeutiques qui sont entrées à l’hôpital ;
- la mise en place d’une vraie politique de prévention fondée sur le mode de vie ;
- l’application d’une préférence environnementale pour les traitements : à efficacité comparable, on inciterait les médecins à choisir les traitements les moins nocifs pour l’environnement. Par exemple, la diète méditerranéenne plutôt que les statines pour la prévention des maladies cardiovasculaires…
Il y a encore un peu de travail !
Naturellement vôtre,
Augustin de Livois
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