Vaccins, c’est la guerre !

Vaccins, c’est la guerre !

 

Chère amie, cher ami,

 

Cette semaine, la question de l’obligation vaccinale a suscité une guerre des mots. C’est une guerre de l’information et de l’intox entre scientifiques par voie de presse interposée.

 

Cela s’est passé au théâtre Michel

 

Il y a une semaine, les Pr Luc Montagnier et Henri Joyeux ont donné une conférence de presse. Ils ont résumé les propos tenus lors de cet entretien avec les journalistes (et des victimes de vaccins) dans un communiqué de presse, que j’ai reproduit en bas de la lettre.

 

Qu’ont-ils dit? Ils ont rappelé qu’ils étaient favorables aux vaccins. Mais ils se sont dit inquiets face à l’usage de l’aluminium dans les vaccins, l’hypervaccination ou encore les vaccinations inutiles pour les nourrissons (hépatite B). Ils ont rappelé, par ailleurs, que pour les vaccins contre les virus vivants atténués, les personnes vaccinées restaient contagieuses.

 

Vaccinés et contagieux

 

Il faut bien comprendre ce que veut dire cette affirmation car nos professeurs n’ont pas insisté sur ce point. Cela veut dire, que les vaccins, s’ils peuvent limiter l’essor de certaines maladies, peuvent aussi en assurer le retour ou la circulation. Ce fait est reconnu pour les femmes enceintes ou les personnes immuno-déprimées. Ces personnes ne doivent pas se faire vacciner contre la varicelle par exemple. Une femme en âge de procréer ne sera vaccinée, que si elle a fait un test de grossesse et que celui-ci est négatif (source INRS).

 

C’est ainsi que certaines personnes changent d’avis sur la vaccination : lorsqu’elles contractent la maladie pour laquelle elles ont été vaccinées. Cela est rare. Mais cela arrive. Ce n’est pas toujours reconnu par les autorités médicales.

 

Il n’empêche, s’il y a longtemps, que vous avez été vacciné contre la rougeole, méfiez-vous de votre petit neveu qui vient de l’être. C’est peut être lui qui vous la transmettra dans les jours qui viennent… On ne sait jamais !

 

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Suite de la lettre

 

Quid des victimes des effets secondaires des vaccins?

 

Il arrive aussi qu’un enfant soit pris de convulsions peu de temps après un vaccin. et qu’après ces convulsions, il ne soit plus jamais comme avant. On parlera de syndrome de West, de problèmes génétiques etc. Cela est rare. Mais cela arrive.  Là non plus les médecins ne voient aucun lien. Et on laisse les parents seuls, avec leur petit irrémédiablement malade.

 

Luc Montagnier dit qu’il y a une corrélation temporelle entre ces deux faits mais que nous ne sommes pas en mesure, aujourd’hui, d’établir un lien de causalité certain. Les parents aussi ont vu la corrélation temporelle. Il y a eu un avant et un après le vaccin.

 

Lorsqu’il s’agit de vacciner le deuxième, ces parents là, refusent la vaccination. Parfois, ils sont prêts à aller en prison plutôt que de voir leur deuxième enfant sacrifié. Ils sont prêts à payer une amende, même très élevée. Peut-on vraiment leur en vouloir?

 

Celui qui les condamne,  s’occupera-t-il de l’enfant handicapé à vie?

 

Pourquoi, nous oblige-t-on à jouer un jeu macabre? Aux morts putatifs du gouvernement, les familles sont obligées de montrer les blessures, bien réelles, de leurs enfants meurtris. C’est pour cela que les juges s’en mêlent. Ces familles réclament la justice. Peut-on leur refuser?

 

Pour ceux qui ont peur des maladies, il existe la vaccination.

Pour ceux qui ont peur des vaccins, il devrait exister la liberté vaccinale.

 

Ceux qui n’ont peur de rien, comme Jacques Bessin, ont saisi la justice et gagné leur procès. Il n’a pas fait vacciner ses enfants, qui sont aujourd’hui de grands adolescents. Ils finissent leur scolarité tranquillement.

 

Parce que deux professeurs de médecine estimés, éminemment respectables, dont la France pourrait être très fière, on eu le courage de dire que la politique vaccinale actuelle, n’était peut être pas aussi parfaite qu’on le dit, ils ont eu le droit à une véritable curée !

 

Haro sur les héraults !

 

Le scientifique doute. C’est dans sa nature. Son travail est de prouver ce qu’il avance, de démontrer que ses théories sont valables. Il sait qu’une théorie acceptée, n’est qu’un relai passé au scientifique d’à côté qui pourra la compléter… ou l’invalider. La physique d’Isaac Newton a permis celle de Max Planck. Pourtant, la physique quantique semble remettre en cause les lois de la physique classique.

 

Pourquoi, la vaccinologie est-elle la seule discipline, qu’aucun scientifique ne puisse jamais interroger?

 

Pour avoir exprimé leurs doutes par rapport à l’administration des vaccins et à la manière dont leur fabrication est contrôlée, deux de nos plus grands scientifiques vivants, se sont fait traiter de “vieilles canailles” par des journalistes inconnus, dont les contributions au genre humain semblent, comparativement, bien limitées.

 

Et la question que pose le Quotidien du médecin est “Les propos de Monsieur Montagnier sur la vaccination vous ont-ils choqué?” (L’article est ici. J’ai répondu non, et je vous invite, si vous le souhaitez à faire de même).

 

Ce qui me choque, c’est la manière dont est traité l’un de nos grands scientifiques par notre petite presse. Sommes-nous si riches en Prix Nobel de médecine, que nous les traitions avec si peu de cas ?

 

Ailleurs, la presse (article ici) se fait le relais complaisant des positions des académies de médecine et de pharmacie.  Certains académiciens n’hésitent pas à dénoncer ce qu’ils appellent les “impostures scientifiques” de leur collègue, Luc Montagnier.  

 

Serein, ce dernier répond : « J’ai l’habitude des attaques de ces académiciens qui sont des bureaucrates à la retraite, fermés à toute innovation. J’ai les preuves scientifiques de ce que j’affirme ».

 

Sincèrement, nos institutions scientifiques ne peuvent-elles pas faire mieux? La violence de leurs propos, la violence d’Etat dans cette affaire, montrent que nos autorités sont aux abois. Elles ne savent plus quoi dire, ni que faire face à une population qui s’interroge et ne compte pas se laisser manipuler.

 

Plus les pouvoirs publics utiliseront la force, des mots ou des lois, pour imposer les vaccins, moins la population sera convaincue. Et plus le scepticisme grandira. Ce n’est pas une bonne chose. La relation de confiance avec le médecin est nécessaire au quotidien. En ce moment, on aide ni les patients, ni les médecins.

 

Nouvelles de notre requête auprès du Conseil d’Etat sur l’aluminium

 

Côté IPSN, nous poursuivons notre travail. Nous sommes en contact régulier avec des membres du collectif d’associations qui sollicite régulièrement députés et sénateurs pour tenter de faire évoluer le débat parlementaire.

 

Les parlementaires reçoivent régulièrement et tous azimuts des textes, des propositions, des argumentaires pour les aider à réfléchir sur ce sujet. Lors des débats à l’Assemblée Nationale, certains, s’en sont plaints du reste ! S’ils ne peuvent plus voter tranquilles, où va la démocratie, semblent-ils penser.

 

Par ailleurs, Maître Bergel me tient régulièrement informé des avancées de son travail. Je vous rappelle que nous avons fait partir le 4 août 2017 une requête à la Ministre de la santé, lui demandant de faire retirer l’aluminium dans les vaccins. Cette action réunit 3055 requérants.

 

Le Ministère n’a pas répondu. Passé le délai de deux mois, donc à partir du 4 octobre 2017, cette “non réponse”  équivaut à une “décision implicite de refus”. La ministre a dit “non”.

Maître Bergel a donc envoyé une demande d’explication pour ce refus par courrier recommandé, que le Ministère a reçu (tampon officiel) le 19 octobre.

 

N’ayant pas reçu de réponse, à sa demande, elle a fait partir notre requête auprès du Conseil d’Etat le 15 novembre dernier.

 

Le dossier est complet. Je l’ai lu. Il est convaincant. Il pourra l’être encore davantage si vous avez d’autres témoignages à lui associer, soit en tant que patient, soit en tant que professionnel de santé (Médecin, infirmier, pharmacien). Si vous avez vu quelque chose d’anormal au cours d’une vaccination, n’hésitez pas à le lui dire. Votre parole incitera les juges administratifs à se poser des questions, à prendre du recul et à demander que soit retiré l’aluminium des vaccins. (Vous trouverez toutes les informations sur “comment envoyer votre témoignage” ici.

 

Je vous tiendrai informé de la suite des actions que nous allons mener dans le cadre de ce dossier.

 

Bien à vous,

 

Augustin de Livois

 

PS : Ci-dessous voici le communiqué de presse des Pr Montagnier et Joyeux, diffusé à la suite de leur conférence de presse.  

 

Communiqué de presse des Pr Henri Joyeux et Luc Montagnier

 

Les Professeurs Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine et Henri Joyeux, Prix international de cancérologie, résument en 7 points leur conférence de presse commune du 7 novembre 2017.

1/ Nous ne sommes pas contre les vaccinations contrairement à ce que diffusent des médias et des communicants médiatiques, y compris médecins, sous influence directe ou indirecte des laboratoires fabricants. La science vaccinale est complexe, et notre environnement a beaucoup changé depuis un siècle ce qui rend difficile les vaccinations en masse comme autrefois.   

 


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